Val Carr-Ortolan
Sculptrice

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.,
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
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Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
79x65x28 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Avec Troie, Val Carr-Ortolan donne corps à une vision puissante du cheval, à mi-chemin entre la fougue mythologique et la fragilité contemporaine. Suspendu dans une posture saisissante, l’animal semble figé dans un élan interrompu, comme arraché au tumulte d’un combat invisible. Le corps morcelé, volontairement fragmenté, révèle autant la force brute que la vulnérabilité de la bête.
La crinière fouettée par un vent imaginaire, la tension musculaire capturée avec virtuosité, chaque détail participe à cette impression de mouvement suspendu dans le temps. Le vide qui traverse la sculpture devient lui-même matière, évoquant l’absence, la mémoire, et la légende.
Référence directe ou allusion subtile au cheval de Troie, cette œuvre interroge notre rapport à la ruse, à la guerre, mais aussi à l’artifice et à la beauté. Le socle épuré renforce la verticalité et l’équilibre précaire de l’ensemble, comme si la sculpture défiait la gravité autant que le destin.
Troie est une œuvre dramatique et élégante, taillée pour captiver et faire réfléchir, autant sur le mythe que sur la nature humaine.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
79x65x28 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Avec Troie, Val Carr-Ortolan donne corps à une vision puissante du cheval, à mi-chemin entre la fougue mythologique et la fragilité contemporaine. Suspendu dans une posture saisissante, l’animal semble figé dans un élan interrompu, comme arraché au tumulte d’un combat invisible. Le corps morcelé, volontairement fragmenté, révèle autant la force brute que la vulnérabilité de la bête.
La crinière fouettée par un vent imaginaire, la tension musculaire capturée avec virtuosité, chaque détail participe à cette impression de mouvement suspendu dans le temps. Le vide qui traverse la sculpture devient lui-même matière, évoquant l’absence, la mémoire, et la légende.
Référence directe ou allusion subtile au cheval de Troie, cette œuvre interroge notre rapport à la ruse, à la guerre, mais aussi à l’artifice et à la beauté. Le socle épuré renforce la verticalité et l’équilibre précaire de l’ensemble, comme si la sculpture défiait la gravité autant que le destin.
Troie est une œuvre dramatique et élégante, taillée pour captiver et faire réfléchir, autant sur le mythe que sur la nature humaine.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
79x65x28 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Avec Troie, Val Carr-Ortolan donne corps à une vision puissante du cheval, à mi-chemin entre la fougue mythologique et la fragilité contemporaine. Suspendu dans une posture saisissante, l’animal semble figé dans un élan interrompu, comme arraché au tumulte d’un combat invisible. Le corps morcelé, volontairement fragmenté, révèle autant la force brute que la vulnérabilité de la bête.
La crinière fouettée par un vent imaginaire, la tension musculaire capturée avec virtuosité, chaque détail participe à cette impression de mouvement suspendu dans le temps. Le vide qui traverse la sculpture devient lui-même matière, évoquant l’absence, la mémoire, et la légende.
Référence directe ou allusion subtile au cheval de Troie, cette œuvre interroge notre rapport à la ruse, à la guerre, mais aussi à l’artifice et à la beauté. Le socle épuré renforce la verticalité et l’équilibre précaire de l’ensemble, comme si la sculpture défiait la gravité autant que le destin.
Troie est une œuvre dramatique et élégante, taillée pour captiver et faire réfléchir, autant sur le mythe que sur la nature humaine.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
79x65x28 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Avec Troie, Val Carr-Ortolan donne corps à une vision puissante du cheval, à mi-chemin entre la fougue mythologique et la fragilité contemporaine. Suspendu dans une posture saisissante, l’animal semble figé dans un élan interrompu, comme arraché au tumulte d’un combat invisible. Le corps morcelé, volontairement fragmenté, révèle autant la force brute que la vulnérabilité de la bête.
La crinière fouettée par un vent imaginaire, la tension musculaire capturée avec virtuosité, chaque détail participe à cette impression de mouvement suspendu dans le temps. Le vide qui traverse la sculpture devient lui-même matière, évoquant l’absence, la mémoire, et la légende.
Référence directe ou allusion subtile au cheval de Troie, cette œuvre interroge notre rapport à la ruse, à la guerre, mais aussi à l’artifice et à la beauté. Le socle épuré renforce la verticalité et l’équilibre précaire de l’ensemble, comme si la sculpture défiait la gravité autant que le destin.
Troie est une œuvre dramatique et élégante, taillée pour captiver et faire réfléchir, autant sur le mythe que sur la nature humaine.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
79x65x28 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Avec Troie, Val Carr-Ortolan donne corps à une vision puissante du cheval, à mi-chemin entre la fougue mythologique et la fragilité contemporaine. Suspendu dans une posture saisissante, l’animal semble figé dans un élan interrompu, comme arraché au tumulte d’un combat invisible. Le corps morcelé, volontairement fragmenté, révèle autant la force brute que la vulnérabilité de la bête.
La crinière fouettée par un vent imaginaire, la tension musculaire capturée avec virtuosité, chaque détail participe à cette impression de mouvement suspendu dans le temps. Le vide qui traverse la sculpture devient lui-même matière, évoquant l’absence, la mémoire, et la légende.
Référence directe ou allusion subtile au cheval de Troie, cette œuvre interroge notre rapport à la ruse, à la guerre, mais aussi à l’artifice et à la beauté. Le socle épuré renforce la verticalité et l’équilibre précaire de l’ensemble, comme si la sculpture défiait la gravité autant que le destin.
Troie est une œuvre dramatique et élégante, taillée pour captiver et faire réfléchir, autant sur le mythe que sur la nature humaine.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
69x44x29 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Suspendus entre ciel et vide, un cheval et deux figures humaines se figent dans un étrange ballet. Avec Le chuchoteur, Val Carr-Ortolan nous invite à contempler un moment de fragile intimité : un murmure silencieux, un souffle suspendu dans la matière.
Sur le dos de l’animal, les deux corps se mêlent. L’un tend la main, le visage projeté vers l’avant, comme pour transmettre un secret, tandis que l’autre s’abandonne à l’étreinte. Le cheval, arc-bouté, incarne la force contenue et l’équilibre précaire.
Cette œuvre puissante et poétique explore les liens invisibles qui unissent l’humain, l’animal et la parole. Dans ce geste suspendu, Val Carr-Ortolan capte l’essence même de la communication : ce qui nous relie au-delà des mots.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
69x44x29 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Suspendus entre ciel et vide, un cheval et deux figures humaines se figent dans un étrange ballet. Avec Le chuchoteur, Val Carr-Ortolan nous invite à contempler un moment de fragile intimité : un murmure silencieux, un souffle suspendu dans la matière.
Sur le dos de l’animal, les deux corps se mêlent. L’un tend la main, le visage projeté vers l’avant, comme pour transmettre un secret, tandis que l’autre s’abandonne à l’étreinte. Le cheval, arc-bouté, incarne la force contenue et l’équilibre précaire.
Cette œuvre puissante et poétique explore les liens invisibles qui unissent l’humain, l’animal et la parole. Dans ce geste suspendu, Val Carr-Ortolan capte l’essence même de la communication : ce qui nous relie au-delà des mots.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
69x44x29 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Suspendus entre ciel et vide, un cheval et deux figures humaines se figent dans un étrange ballet. Avec Le chuchoteur, Val Carr-Ortolan nous invite à contempler un moment de fragile intimité : un murmure silencieux, un souffle suspendu dans la matière.
Sur le dos de l’animal, les deux corps se mêlent. L’un tend la main, le visage projeté vers l’avant, comme pour transmettre un secret, tandis que l’autre s’abandonne à l’étreinte. Le cheval, arc-bouté, incarne la force contenue et l’équilibre précaire.
Cette œuvre puissante et poétique explore les liens invisibles qui unissent l’humain, l’animal et la parole. Dans ce geste suspendu, Val Carr-Ortolan capte l’essence même de la communication : ce qui nous relie au-delà des mots.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
69x44x29 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Suspendus entre ciel et vide, un cheval et deux figures humaines se figent dans un étrange ballet. Avec Le chuchoteur, Val Carr-Ortolan nous invite à contempler un moment de fragile intimité : un murmure silencieux, un souffle suspendu dans la matière.
Sur le dos de l’animal, les deux corps se mêlent. L’un tend la main, le visage projeté vers l’avant, comme pour transmettre un secret, tandis que l’autre s’abandonne à l’étreinte. Le cheval, arc-bouté, incarne la force contenue et l’équilibre précaire.
Cette œuvre puissante et poétique explore les liens invisibles qui unissent l’humain, l’animal et la parole. Dans ce geste suspendu, Val Carr-Ortolan capte l’essence même de la communication : ce qui nous relie au-delà des mots.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
69x44x29 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Suspendus entre ciel et vide, un cheval et deux figures humaines se figent dans un étrange ballet. Avec Le chuchoteur, Val Carr-Ortolan nous invite à contempler un moment de fragile intimité : un murmure silencieux, un souffle suspendu dans la matière.
Sur le dos de l’animal, les deux corps se mêlent. L’un tend la main, le visage projeté vers l’avant, comme pour transmettre un secret, tandis que l’autre s’abandonne à l’étreinte. Le cheval, arc-bouté, incarne la force contenue et l’équilibre précaire.
Cette œuvre puissante et poétique explore les liens invisibles qui unissent l’humain, l’animal et la parole. Dans ce geste suspendu, Val Carr-Ortolan capte l’essence même de la communication : ce qui nous relie au-delà des mots.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57x40x27 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Avec Korza, Val Carr-Ortolan nous plonge dans l’intimité de la réflexion humaine. Assis, le corps courbé vers l’avant, cette figure silencieuse semble dans un moment de profonde introspection. Le geste de la main, à demi relevée vers le visage, évoque le doute, le recueillement, ou peut-être la fatigue d’un long chemin intérieur.
Le traitement de la matière, marquée de stries et d’empreintes, accentue cette impression de peau vulnérable, comme si chaque pensée, chaque émotion, avait laissé son empreinte sur le corps. Dans cette œuvre, la chair et l’esprit paraissent indissociables : le corps tout entier devient le réceptacle d’une vie intérieure en mouvement.
Avec une simplicité formelle remarquable, Val Carr-Ortolan capte ici l’universel : ce moment fragile et puissant où l’être humain se confronte à lui-même, hors du tumulte du monde.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57x40x27 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Avec Korza, Val Carr-Ortolan nous plonge dans l’intimité de la réflexion humaine. Assis, le corps courbé vers l’avant, cette figure silencieuse semble dans un moment de profonde introspection. Le geste de la main, à demi relevée vers le visage, évoque le doute, le recueillement, ou peut-être la fatigue d’un long chemin intérieur.
Le traitement de la matière, marquée de stries et d’empreintes, accentue cette impression de peau vulnérable, comme si chaque pensée, chaque émotion, avait laissé son empreinte sur le corps. Dans cette œuvre, la chair et l’esprit paraissent indissociables : le corps tout entier devient le réceptacle d’une vie intérieure en mouvement.
Avec une simplicité formelle remarquable, Val Carr-Ortolan capte ici l’universel : ce moment fragile et puissant où l’être humain se confronte à lui-même, hors du tumulte du monde.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57x40x27 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Avec Korza, Val Carr-Ortolan nous plonge dans l’intimité de la réflexion humaine. Assis, le corps courbé vers l’avant, cette figure silencieuse semble dans un moment de profonde introspection. Le geste de la main, à demi relevée vers le visage, évoque le doute, le recueillement, ou peut-être la fatigue d’un long chemin intérieur.
Le traitement de la matière, marquée de stries et d’empreintes, accentue cette impression de peau vulnérable, comme si chaque pensée, chaque émotion, avait laissé son empreinte sur le corps. Dans cette œuvre, la chair et l’esprit paraissent indissociables : le corps tout entier devient le réceptacle d’une vie intérieure en mouvement.
Avec une simplicité formelle remarquable, Val Carr-Ortolan capte ici l’universel : ce moment fragile et puissant où l’être humain se confronte à lui-même, hors du tumulte du monde.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57x40x27 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Avec Korza, Val Carr-Ortolan nous plonge dans l’intimité de la réflexion humaine. Assis, le corps courbé vers l’avant, cette figure silencieuse semble dans un moment de profonde introspection. Le geste de la main, à demi relevée vers le visage, évoque le doute, le recueillement, ou peut-être la fatigue d’un long chemin intérieur.
Le traitement de la matière, marquée de stries et d’empreintes, accentue cette impression de peau vulnérable, comme si chaque pensée, chaque émotion, avait laissé son empreinte sur le corps. Dans cette œuvre, la chair et l’esprit paraissent indissociables : le corps tout entier devient le réceptacle d’une vie intérieure en mouvement.
Avec une simplicité formelle remarquable, Val Carr-Ortolan capte ici l’universel : ce moment fragile et puissant où l’être humain se confronte à lui-même, hors du tumulte du monde.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
42x41x11 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Dans Cavallo & Cavaliere, Val Carr-Ortolan explore avec force et poésie le lien séculaire entre l’homme et le cheval. Cette sculpture, réalisée dans une matière blanche texturée et nerveuse, capte le mouvement suspendu d’un cavalier et de sa monture en plein élan, presque en apesanteur.
L’artiste joue avec les volumes fragmentés et les strates de matière pour évoquer à la fois la puissance de l’animal et la fusion des corps dans un geste commun. Le rendu brut, marqué de striures et d’entailles, donne à l’ensemble une dynamique presque musicale, comme un souffle figé dans la matière.
L’œuvre, installée sur un socle sobre qui souligne la légèreté, dégage une sensation d’équilibre fragile entre tension et liberté. C’est un hommage au mouvement, à la complicité tacite entre l’humain et l’animal, et à la beauté de l’instant figé dans l’éternité du geste.
Val Carr-Ortolan est une sculptrice française qui se consacre pleinement à la sculpture depuis plus de vingt ans.
Son œuvre se distingue par une identité artistique affirmée, alliant intensité, vigueur et finesse.
Elle privilégie une technique italienne du XVII siècle, "le cartapasta ou cartapesta" qu’elle marie avec subtilité à la poudre de marbre, donnant naissance à des créations délicates et majestueuses.
Ses patines, douces et épurées, traduisent avec justesse son intention artistique.
Son talent a été reconnu à plusieurs reprises :
- En 2013, elle a obtenu la seconde mention spéciale du jury lors de la 11ᵉ Biennale internationale de sculpture de Rambouillet.
- En 2016, elle a reçu le second prix de sculpture et le prix Univers des arts lors de l'Académie internationale des arts à Paris.
- En 2017, elle a remporté le prix des artistes et le prix du public lors du Trophée Carrare au Haras national de Saint-Lô.
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