Val Carr-Ortolan
Sculptrice

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.,
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
57,5x67x18,5 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Vaticanum est une œuvre d'une intensité poétique rare. On y découvre un cheval lancé dans un mouvement suspendu, à la fois puissant et aérien, portant une silhouette humaine à peine esquissée, comme fondue dans le souffle de l’animal. Le cavalier semble être une émanation du cheval lui-même : sans visage distinct, sans limite nette, il devient presque esprit ou mémoire.
La matière blanche, brute, fait écho à la pureté de l’élan, au dépouillement du superflu. Les formes sont délibérément incomplètes, comme effacées par le vent ou le temps. L’ensemble évoque la transition, l’ultime chevauchée, ou peut-être un rêve d’ascension. On pense à la mort, au souvenir, à l’envol… mais toujours avec douceur et pudeur.
Ancrée sur un socle massif, la sculpture défie pourtant la pesanteur. Elle flotte, suspendue entre deux mondes, le visible et l’invisible, le tangible et l’oubli.
Une œuvre profondément méditative, qui touche à l’universel, et dont le silence résonne longtemps dans l’âme du spectateur.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
79x65x28 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Avec Troie, Val Carr-Ortolan donne corps à une vision puissante du cheval, à mi-chemin entre la fougue mythologique et la fragilité contemporaine. Suspendu dans une posture saisissante, l’animal semble figé dans un élan interrompu, comme arraché au tumulte d’un combat invisible. Le corps morcelé, volontairement fragmenté, révèle autant la force brute que la vulnérabilité de la bête.
La crinière fouettée par un vent imaginaire, la tension musculaire capturée avec virtuosité, chaque détail participe à cette impression de mouvement suspendu dans le temps. Le vide qui traverse la sculpture devient lui-même matière, évoquant l’absence, la mémoire, et la légende.
Référence directe ou allusion subtile au cheval de Troie, cette œuvre interroge notre rapport à la ruse, à la guerre, mais aussi à l’artifice et à la beauté. Le socle épuré renforce la verticalité et l’équilibre précaire de l’ensemble, comme si la sculpture défiait la gravité autant que le destin.
Troie est une œuvre dramatique et élégante, taillée pour captiver et faire réfléchir, autant sur le mythe que sur la nature humaine.

Tech : Carta Pasta/Poudre de marbre
79x65x28 cm
Signée et délivrée avec son CA
Pièce unique
Avec Troie, Val Carr-Ortolan donne corps à une vision puissante du cheval, à mi-chemin entre la fougue mythologique et la fragilité contemporaine. Suspendu dans une posture saisissante, l’animal semble figé dans un élan interrompu, comme arraché au tumulte d’un combat invisible. Le corps morcelé, volontairement fragmenté, révèle autant la force brute que la vulnérabilité de la bête.
La crinière fouettée par un vent imaginaire, la tension musculaire capturée avec virtuosité, chaque détail participe à cette impression de mouvement suspendu dans le temps. Le vide qui traverse la sculpture devient lui-même matière, évoquant l’absence, la mémoire, et la légende.
Référence directe ou allusion subtile au cheval de Troie, cette œuvre interroge notre rapport à la ruse, à la guerre, mais aussi à l’artifice et à la beauté. Le socle épuré renforce la verticalité et l’équilibre précaire de l’ensemble, comme si la sculpture défiait la gravité autant que le destin.
Troie est une œuvre dramatique et élégante, taillée pour captiver et faire réfléchir, autant sur le mythe que sur la nature humaine.
Val Carr-Ortolan est une sculptrice française qui se consacre pleinement à la sculpture depuis plus de vingt ans.
Son œuvre se distingue par une identité artistique affirmée, alliant intensité, vigueur et finesse.
Elle privilégie une technique italienne du XVII siècle, "le cartapasta ou cartapesta" qu’elle marie avec subtilité à la poudre de marbre, donnant naissance à des créations délicates et majestueuses.
Ses patines, douces et épurées, traduisent avec justesse son intention artistique.
Son talent a été reconnu à plusieurs reprises :
- En 2013, elle a obtenu la seconde mention spéciale du jury lors de la 11ᵉ Biennale internationale de sculpture de Rambouillet.
- En 2016, elle a reçu le second prix de sculpture et le prix Univers des arts lors de l'Académie internationale des arts à Paris.
- En 2017, elle a remporté le prix des artistes et le prix du public lors du Trophée Carrare au Haras national de Saint-Lô.
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